Retour sur quelques résidences

2024 et 2025. Autour de la question de la prise en compte du changement climatique dans la création littéraire d’une part, de la littérature jeunesse d’autre part.

Un port avec des yachts, des voiliers, des pontons… Quel meilleur lieu pour écrire A bon Port ? Un volet d’éducation artistique et culturelle, avec les élèves de l’école Lucie Aubrac, me permet d’écrire également L’amour rend aveugle.

Grâce au programme de résidences d’écriture du Service Livre du Conseil Régional d’Ile-de-France, immersion en forêt de Fontainebleau pour écrire Les Murmures de Haute-Claire. Interviews, imprégnation et action culturelle.

Une résidence parfumée à la vanille, à l’occasion d’un compagnonnage auteur-compagnie, avec Baba Sifon, pour l’écriture du Parfum d’Edmond : premier temps, découverte des plantations, de la fabrication, visite des archives départementales… deuxième temps, écriture bord de plateau… troisième temps, livraison du texte.

A quelques encablures du littoral où se passe l’intrigue sur laquelle je travaille : je mets en effet la dernière touche à Au Jour naissant. Participation au Village du Livre d’Esquelbecq.

En résidence à Valréas (84)

Pour finir, cette question

Une résidence « idéale »…

Ecrire. Jouer. Transmettre.